Dionysos sur un guépard Mosaïque dans la « maison de Dionysos » à Pella (Grèce) Photo Yann Forget / Wikipedia
Les prémonitions du Guépard
« Après » ne sera plus jamais comme « avant » clame-t-on à tue-tête. Et si, défiant toute prédiction, rien ne changeait. Pourquoi ? Parce que la société recèlerait des ressources cachées (en capital, trésorerie, énergies renouvelables ou non…) dont les élites ont la garde, que le peuple méconnaît, bien qu’il en suppute l’existence. Et la pénurie (de masques, de tests, de lits de réanimation…) serait en conséquence d’autant mieux organisée d’un côté que les ressources cachées le seraient mieux de l’autre. D’où la justification a posteriori de la sentence proférée par Tancrède : « Il faut que tout change pour que rien ne change. »
Rien donc ne changerait, d’autant moins qu’on aura fait semblant de tout changer !
Aménageur en retrait d'activité qui, tirant profit de ses heures de loisir extorqué à la masse laborieuse, n'a rien trouvé de mieux que de se plonger dans la littérature sur la ville dans le dessein de la confronter avec sa pratique professionnelle passée et de susciter un dialogue avec d'autres passionnés d'urbain et d'urbanité.
Et, comme si cela ne suffisait pas, entre deux lectures, il se laissa aller à donner au vent, non sans impudeur ou prétention, c'est selon, les mots échappés de son inspiration insatiable.
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